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Sur la place publique
30 septembre 2013

Le début de l'histoire

J'ai réfléchi longtemps avant de vous donner le nom de la personne qui est la cause de mes problèmes. Je ne veux pas lui faire du tors. Mais lorsque je pense à tout les ennuis qu'elle m'a fait, je n'ai plus hésité.
A-t-elle eu des scrupules lorsqu'elle m'a fait retirer 5 euros pendant 4 mois de mon rmi alors que j'avais de graves problèmes financiers et qu'elle était parfaitement au courant ? Non. A-t-elle eu des scrupules lorsqu'elle m'a isolée pendant 5 années avec les conséquences que je subi aujourd'hui ? Non.
Elle est mère d'un enfant, mais elle n'est pas dans le besoin car fonctionnaire.
Donc, voici son nom.


Madame Didier L. a suivi mon dossier de novembre 2008 à décembre 2012 (en théorie, parce qu'elle a arrêté de le traité en août 2010). Toutefois, comme c'était une faignasse de la pire espèce existant en grand nombre dans la fonction publique en générale et dans la fonction territoriale en particulier, elle a continué d'avoir le droit de s'en occuper jusqu'en décembre 2012. Et grâce à cela, mon dossier n'a plus été suivi pendant deux ans et demi !
Faire semblant de travailler chez cette femme là, c'était sa grande spécialité.
Il faut ajouté qu'avec des chefs comme elle a, tout aussi paresseux(ses) et inutiles, juste bon à vous faire payer des impôts, ce n'est pas étonnant.
Voilà pour la critique mérité à ces braves gens du conseil général 54 qui me font l'immense plaisir de passer sur mon blog.
Ces cloportes n'ont rien d'autres à faire, apparemment. Pour vous dire la vérité, ils sont payés à ne rien faire pendant que des milliers de personnes (plus de 100 000 en lorraine !) sont au chômage à se demander comment ils vont payer leurs factures.
Chercher l'erreur (l'horreur).

Madame Didier était en poste depuis juin 2008 et ne m'a convoqué qu'en novembre 2008. Elle avait fini par me convoquer par courrier officiel, ce qu'elle aurait dû faire depuis l'accession à son poste. La pauvre m'avait avoué à l'époque que c'était trop difficile d'envoyer des courriers à tout le monde. Incroyable, mais vrai. Il suffit de sortir le fichier de l'ordinateur, de rajouter le nom de la personne, l'adresse et la date du rendez-vous. Apparemment, c'était trop difficile pour elle. Sachez aussi, que cette personne avait accès au secrétariat de la mairie et qu'elle pouvait demander qu'une secrétaire puisse lui saisir le formulaire. Toutefois, il n'y avait à l'époque qu'une dizaine de personnes au rmi (2008).
Enfin, lorsqu'elle m'a reçu, elle croyait parler à quelqu'un d'autre... oui, elle s'était trompée de dossier. Je n'était pas la bonne personne et cela ne l'avait même pas interpellée. Intéressant non ?
De plus, j'ai compris ce jour-là, que la personne qu'elle devait recevoir était un ami d'un conseiller municipale qu'elle devait aider. Ordres spéciaux du maire de Malzéville ou du cg54 ? Allez savoir...

Elle m'a téléphoné quelques jours plus tard pour me dire qu'elle ne pouvait suivre mon dossier (en décembre 2008). Je lui ai dit que j'allais en informer le cg54. Quelques heures après, elle me rappelait... elle pouvait suivre mon dossier. Etonnant non ?

Et c'est à ce moment que mes problèmes ont commencés.

Elle n'a rien fait pour m'aider. Elle m'en parlait tout le temps... à la fin de nos entretiens. Environ une fois tous les un mois et demi et surtout lorsqu'il fallait signé le contrat d'insertion. 
A la fin de nos entretiens qui ne servait à rien qu'à justifier qu'elle "travaillait" auprès de ses chefs (qui ne font rien non plus que boire du café et manger avec vos impôts des croissants...), elle me disait. 
"Nous verrons bien la prochaine fois ce que nous pourrons faire...".
Et la prochaine fois, c'était toujours la même chanson.

Ce fut ainsi jusqu'en mars. Là j'ai commencé à lui poser des questions. Sans avoir de réponses. Et quand au suivi social, il était quasi inexistant. Elle comparait sa situation avec la mienne.
Une fois, elle m'a téléphonée et à comparer un rendez-vous que je devais avoir avec une association où je devais aller et dont cela ne me plaisait absolument pas avec une soirée musicale où elle devait se rendre avec un ami ou son mari. Cela importe peu, il est vrai, mais c'est pour vous dire.
Elle prétendait toujours me connaître. Je n'ai jamais su si c'était une expression. Et pardonnez-moi l'expression, si c'était du lard ou du cochon. Je ne connaissais absolument pas cette femme. Je ne l'avais jamais vu. Hors, elle a toujours entretenue cette ambiguïtée et je ne sais toujours pas ce qu'elle voulait dire par là.

Puis j'ai fait une immense erreur. Je me suis excusé. Pourquoi ? Parce que je pensais avoir été dur avec elle. Un moment, je me suis énervé parce que les choses ne bougeaient pas et que je n'avais même plus de nouvelle de mon conseiller de pôle emploi qui pensait qu'elle traitait mon dossier...

Je vous passerai tous les détails. Et je ne vais faire plus qu'un résumé.
A partir du moment ou je me suis excusé, j'ai eu droit à toute sortes de petits sous-entendu. Que j'étais intolérant etc.
Bref, c'était une pauvre petite. Donc, j'ai été gentil... soumi plutôt. Et bien sûr, les choses n'ont pas plus avancés.
Mon conseillers emploi de l'époque était un homme sympathique et je m'entendais très bien avec lui. Il a fait la connaissance de madame Didier grâce à moi. Et à partir de ce moment... ce ne fut jamais pareil. Nos entretiens étaient parfois tendu, mais toujours courtois. Mais plus rien ne bougeait et les rendez-vous étaient rares.

En juillet 2009, je m'étais décidé à faire bouger les choses et les entretiens étaient assez tendu avec cette dame. J'allais de plus en plus mal et j'aurais aimé que ça bouge. C'est là qu'elle a mise en avant qu'elle était enceinte.
Je me suis donc montré gentil. Mais elle, par contre, c'est montrée beaucoups plus "méchante" et sadique.
Une fois, il y a avait des emplois que la mairie proposait. Elle m'a fait un cinéma comme quoi qu'elle ne pouvait rien me proposer "puisque rien ne m'intéressait !". Je n'ai pu placer un mot et puis elle a terminée l'entretien.
Je me suis donc encore excuser par mail parce que je me sentais coupable. Pourquoi ? Je l'ignorais à l'époque, mais c'est elle qui faisait en sorte que je me sente comme ça.
Et cette situation a duré jusqu'à son départ en congé de maternité fin octobre 2009 où elle m'a annoncée que je devrais rencontré un de ses chefs parce que les choses ne bougeaient pas ! Avec un ton de reproche comme si c'était ma faute.
Elle était ronde comme une barrique et sur le point d'accoucher... que vouliez vous que je lui dise ?
J'ai été même gentil avec elle. J'espérais qu'elle ne revienne pas et qu'elle soit enfin remplacée.
Mais je me trompais parce que comprennant que je croyais ça et bien elle m'a dit qu'elle reviendrait en avril 2010 ! Et elle tenait à résoudre elle-même "mon problème". C'est étrange... elle n'avait rien fait pendant plusieurs mois...

Je pense que cette femme c'est fait volontairement mettre enceinte afin de garder son poste. J'en ai la conviction aujourd'hui.

Sa collègue, madame R.R. m'a reçu. Et l'entretien se passait plutôt bien jusqu'au moment où il y a eu une petite note étrange. Il paraitrait à l'époque que je ne cherchais pas de travail ?
Je n'ai rien dit, parce que je ne voulais pas faire de scandale. C'était bien sûr, madame Didier qui avait dit cela à sa collègue. J'ai mis fin à l'entretien. Et lorsque madame R. m'a convoqué pour me faire signer le contrat d'insertion, je n'y suis pas allé. Nous avons échangé alors plusieurs mails, elle et moi. Elle s'est même excusée et m'a dit qu'elle voulait faire quelque chose parce que j'allais "mal". Oui, c'est vrai j'allais mal et je ne m'en rendais même pas compte alors.
J'allais mal par la faute de madame Didier qui c'était acharnée sur moi pendant plusieurs mois. J'allais mal parce que personnes n'apportaient de solutions à mon problème d'emploi alors que j'ai toujours voulu m'en sortir !
J'avais 46 ans à l'époque ! Personne n'a rien fait ! Soit disant que j'avais droit à des tas de parcours à l'époque. Mais où sont-ils ? Madame Didier a tout fait pour que je ne les obtienne pas.
Sa collègue c'est montré sympathique et a toujours pris le temps de me répondre et de m'écrire par mails. Nous en avons échangé beaucoups et même si j'étais énervé et un peu dur avec elle, elle m'a toujours répondu quand même.
Et lorsque madame Didier est rentré en avril 2010, elle a tout mise sur le dos de sa collègue... madame R. R. devant son chef que j'ai vu en mai 2010. Cette femme a été critiquée par madame Didier qui n'a pas assumée ses erreurs. Et pourtant, contrairement à madame Didier, elle a essayé de trouver des solutions. J'allais trop mal alors, j'avais été tellement maltraité par cette femme, que je ne faisais même plus confiance aux autres personnes. Je n'avais plus de nouvelles de mon conseiller pôle-emploi et je ne voulais plus voir madame R.

Ce n'est pas un roman fiction, mais la réalité. Et attendez de lire la suite !

 

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Commentaires
Sur la place publique
  • Je suis Rmiste. Pas Rsaiste, cela ne veut rien dire. Je suis demandeur d'emploi de longues durés. J'ai des choses à dire et je ne vais pas mâcher mes mots. Ici, je dénonce les injustices qui me sont faites.
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