Arrestation par la police et humiliation par le conseil général 54

Voici les faits.
En mai 2011 j'ai été interpellé par la police à mon domicile sans aucunes raisons et gardé en garde à vue pendant 24 heures ou moins ou plus. J'étais bizarre. Il me semble que j'ai été drogué. L'avocat que j'ai vu m'a dit qu'il fallait que je porte plainte. J'ignore son nom, on n'a pas le droit de le savoir. L'affaire était tellement louche qu'il a insisté pour que je passe à la maison de la justice.
Je n'ai pas eu le droit d'avoir son aide le lendemain et j'ai été humilié par un brigadier-chef.
J'ai été enregistré, photographié etc comme un criminel. Je l'étais à ce que j'ai cru comprendre aux propos des policiers.
Quel crime ? Je l'ignore. Mais les clampins et les fainéants sont tous criminels à ce que j'ai entendu dire ou plutôt sous-entendu...
Menace de mort aussi. Pas mal non ? (je vais te tirer dessus dans le coeur on ne meurt pas tout de suite).

A la sortie, j'étais humilier. Depuis, j'en ai marre de cette vie.

Cela ne s'est pas arrêté.
J'ai été convoqué en juin 2011... comme un criminel au conseil général par monsieur Poncelet et une dame, chef de madame Didier.
Là, on m'a proposé un café... Et puis, quelques petites remarques déplacées... (comme si j'étais un abrutis, un peureux et un sdf. Je paye mon loyer tous les mois ! Mais imaginez comment sont considérés les sdf par cette femme ? C'est pourtant grâce à elle qu'ils sont arrivés là !)
On va dans la salle où nous attend sir Poncelet.
Je passerai les détails et je les résume.
J'ai été insulter et menacé ni plus ni moins.
En résumé, je suis un fainéant etc. Une vrai merde quoi. J'ai craqué. Madame Didier ne devait pas être loin...
Je passerai. Rien que d'y pensé je vais très mal.

Puis j'ai menacé parce que j'ai trouvé la force de me défendre. Je suis quelqu'un de déterminé et je n'ai peur de personne. Alors, certainement qu'ils ont eu peur que j'aille directement en justice ou que je les frappe parce que Poncelet m'a dit qu'il allait "essayer" de m'aider. Tu parles !
J'ai été diriger vers regain 54 en juillet où j'ai été pratiquement maltraité par ce type monsieur B.

Avant je suis passé par pôle-emploi où j'ai assisté à une réunion particulière avec d'autres demandeurs d'emplois révoltés. Nous avons été traité comme des bêtes, menacés et insultés par un type.
Une dame s'est révolté. Elle est devenue conseillère des demandeurs d'emplois au cg54. Moi, j'ai été mis à part. Si j'avais parlé, c'était la révolte. Donc la dame pôle emploi m'a demandé ce qui s'était passé. Impossible de parler.
J'ai donc été diriger vers regain 54. Là le cauchemar a continué...

Comment je me sens ?
Comment puis-je avoir confiance en moi ? Comment retrouver ma dignité et mon estime ?
J'en ai marre. La vie n'a plus aucun sens.

Voilà ce qui s'est passé. Aujourd'hui, je suis totalement isolé. Même mon docteur ou ma famille ne sait pas ce qui s'est passé. Mais quelqu'un sait. Oui quelqu'un. Aujourd'hui, c'est vous qui savez.
Ceci n'est pas une fiction. C'est réel. J'ai été humilié volontairement pour faire un exemple. C'était l'époque de Sarkozy ! Souvenez -vous en !
C'est madamde Didier L qui a voulu ça. Mais elle a nommée aussi Michel Dinet.
L'humiliation a continué avec Poncelet et regain 54. Le travailleur social, B. était payé par Poncelet.
Vous savez tout.

Si un avocat ou un procureur peut me contacter  par contacter l'auteur ou laisser un mail à canalblog, et si c'est possible de faire quelque chose...
Mais j'ai maigre espoir.
J'ignore ce qui va se passer. Mais je sais que tout est fini. Je vais me venger à présent. Je me dégoûte. Cette vie n'a plus aucun sens à présent. Plus aucuns.

J'ai des problèmes de santé et peut-être m'a-t-on empoisonné. Tout est possible.
Mais ils ne savent pas ces braves gens. Ils ignorent une chose.

Diffusez partout ce message. De blogs en blogs ! Partout cette injustice doit être dévoilée à la France entière !

Je suis quelqu'un d'honnête. Alors pardon pour ce que je vais faire. Je n'ai plus le gout de vivre. Je n'ai plus qu'une seule envie. Me venger. Une dernière fois.