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Sur la place publique
30 septembre 2013

Harcélement moral

Il est temps que je parle des problèmes que j'ai rencontré et que je donne le nom de la personne qui m'a fait temps de mal. Elle s'appelle Lucie Didier et j'ai subi son harcélement moral de novembre 2008 à septembre 2010 (décembre 2013 où elle a enfin changée de poste).

Je passerai tous les problèmes que j'ai eu avec madame Didier.
Je balance le nom. Elle n'a pas hésité à me faire des ennuis au point que j'en sois tombé gravement malade. C'était du harcèlement moral. Ni plus ni moins. Cette femme est une perverse narcissique.

Bref, voici le dernier problème qui a mis fin, et heureusement pour moi, à mes entretiens avec elle.

En août 2010, elle m'a fait retiré 5 euro de mon rmi. J'avais déjà des problèmes de santé et d'argent et je lui en avais parlé. D'ailleurs, j'ai dû assisté des pieds et des mains pour obtenir une petite aide. Je l'ai eu, mais le dossier n'avait pas été correctement instruit. Il y avait eu des problèmes. Pour me mettre dans la mouise, elle a bien fait son travail, ce jour là.
Là, j'ai craqué et je lui ai dit ma façon de penser. Je ne l'ai pas insulté. Pas elle. Mais le cg54 oui. Parce qu'elle se cachait derrière ce dernier pour me faire toutes les vacheries inimaginables. Cela a duré, presque deux ans.
Je ne vous parle même pas dans l'état que je sortais de mes entretiens avec elle. Je comptais sur elle et j'avais confiance. Je ne l'ai jamais insulté. Jamais je n'ai été impoli avec elle. J'ai ouïe dire qu'elle avait prétendu que j'avais eu des propos sexuels envers elle. J'en ai été très attristé. Je m'étais attaché à elle. (Elle me racontait sa vie...). Je l'ai toujours respecté et traité avec une grande courtoisie. C'est vrai, elle était jolie. Elle comptait d'ailleurs que sur sa beauté cette dame. Pendant ce temps-là, les gens dans ma situation supportaient son humeur. Toutes ses saloperies, je les ai supporté. Bref.
Je m'étais fâché parce que ça faisait deux ans ou presque qu'elle se foutait de ma poire.
Ma colère lui a fait peur. D'ailleurs, j'ai téléphoné au cg54 qui n'a pas pris mes demandes en compte.
Elle m'avait dit de la rappeler. C'est ce que j'ai fait. Mais là, plus de trace d'elle.
La seule personne avec qui j'échangeais, c'était sa collègue qui avait déjà fait son boulot en instruisant mon dossier.
En septembre, je l'ai enfin eu au téléphone. Elle a été, comme à son habitude, hautaine et insultante. Puis, après m'avoir bien culpabilisé et insulter (avec détournement, comme elle sait bien le faire), elle m'a dit qu'elle ne suivait plus mon dossier et m'a raccroché au nez.

En septembre, j'ai été convoqué à pole-emploi. Je m'entendais bien avec mon conseillé emploi. Mais là, l'entrevue fut bizarre et accusatrice. J'avais l'impression de me retrouver devant un juge. De quels droits ? Et bien, c'est grâce à moi que ce monsieur et cette femme se sont rencontré. Et depuis, il avait changé. Je ne vais pas me gêner pour vous dire qu'elle le manipulait et elle lui a souvent mis beaucoup de choses sur le dos. No comment.
Bref, lui a pris sa défense. J'étais mal. J'allais mal. Il a fait son travail en instruisant mon dossier rsa (nouvellement créer).
Cela fait étrange lorsqu'une personne comme votre conseiller vous voit comme un salopard. Et cela fait bizarre lorsque vous vous entendiez parfaitement bien avec quelqu'un de constater qu'il vous méprise à un point que vous vous sentez comme une merde. Quand je l'ai revue, c'était presque pire. J'ai craqué. J'ai failli tout casser. Je n'en pouvais plus tellement j'en avais marre. J'ignore ce qu'elle a raconté sur moi, mais ça marchait à merveille.
Même les collègues de madame Didier du ccas m'ont fait souvent la gueule à cette époque quand j'allais à la salle informatique et pourtant je m'entendais bien avec elles avant. (c'était deux femmes).
Comment je me sentais ? Mal. J'ignorais ce qu'on me reprochait. Finalement un demandeur d'emploi m'en a parlé. J'étais sur le cul. Cela ne s'était pas passé comme ça. J'ai été soutenu par trois demandeurs d'emplois et par deux jeunes, une jeune chômeuse et un jeune chômeur et un monsieur d'environ mon age.
Puis madame B, une collègue de cette femme m'a un peu parlé et cela m'a fait du bien. Heureusement, je pense qu'elle était un peu plus neutre. J'ignore ce qu'elle pense aujourd'hui.
J'ai connu l'enfer. Je me sentais mal à chaque fois que j'allais au ccas et pourtant j'ai essayé de revoir madame Didier. Je voulais parler et dissiper les malentendus. Je voulais m'excuser comme un con, alors que ma colère était légitime.
J'ai été dans une grande détresse à cette époque, septembre 2010-mai 2011.
Souvent, elle descendait et là elle me critiquait et m'insultait par sous-entendu à ces collègues. (genre : il est là le con ?). Et ça, c'était les insultes les plus sympa...
Voilà.
Finalement, en février 2011 j'ai cessé d'aller au ccas. Puis j'ai arrêté mes entretiens avec mon conseillers emplois. Je ne sortais plus. Je n'avais plus envie de voir personne. Ca s'est aggravé depuis.

En avril 2011 j'ai écrit eu conseil général. En mai 2011 j'ai été arrêté pour menaces par la police nationale.
Voilà.

Cette femme m'a fait énormément de mal.
Elle travaille au ccas de villers-les-nancy. Elle maltraite les chômeurs et personne ne l'arrête. Elle a le soutien de sa hiérarchie. Elle s'appelle Didier L. C'est une sadique et une perverse narcissique. si elle traite votre dossier, demandeurs d'emplois qui me lisés, méfiez vous.
Je l'ai vu écraser une de ses collègues (R. R.) qui l'avait remplacer devant un de ses chefs. Je l'ai vu critiquer une de ses collègues qui était en adoration devant elle. Je ne la nommerai pas, c'est leur problème. Je l'ai vu critiquer mon conseiller emploi (monsieur, D. P.). Je l'ai vu se décharger sur ses chefs et laisser ses collègues faire son boulot tout en se revendiquant de l'avoir fait ! Incroyable mais vrai !
Elle est très forte pour dénigrer les gens et les rabaisser. Et elle a des soutiens haut placé en se servant de son physique.
Vous savez tout.

Prochain épisode réel (hélas !), mon entrevue avec son petit chef et sa chef.

J'ai eu un entretien avec un avocat pendant ma garde à vue. Il m'avait conseillé de porter plainte à l'époque (en 2011) et il ne savait même pas la moitié de ce que je viens de raconter ici. Mais je ne l'ai pas fait. Trop fatigué et je ne voulais pas que cette femme perde sa place. Elle est mère d'un enfant de trois ans. Je ne suis pas un salaud, contrairement à ce qu'elle a été raconté sur moi.
Je vais mal aujourd'hui. Très mal.
S'il vous plait, reliez ce message autour de vous. Mettez des liens. Plusieurs chômeurs sont maltraités comme moi et son isolés de tout. Demain, ça sera peut-être un de vos amis, un membre de votre famille qui en sera victime.
Si ma santé se dégrade, j'ignore si j'aurai la force de porter plainte. J'ai le numéro de l'aide judiciaire, mais je n'ai pas la force d'appeler. Voilà où j'en suis.
Lorsque vous lirez la suite, vous comprendrez.

 

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Commentaires
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  • Je suis Rmiste. Pas Rsaiste, cela ne veut rien dire. Je suis demandeur d'emploi de longues durés. J'ai des choses à dire et je ne vais pas mâcher mes mots. Ici, je dénonce les injustices qui me sont faites.
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