ça continu

J'avais l'espoir que tout s'arrange et que le cauchemard prenne fin.
Mais il n'en est rien.
Comme j'ai des problèmes d'argent, j'ai demandé une aide au ccas de malzéville. Oui, je me suis rabaissé à faire comme le maire, JP Franoux me l'avait stipulé avec sa petite arrogance de super gentil socialiste qui aime tant les chômeurs qui les exclu de partout. Bref, j'ai écrit au directeur des services sociaux, monsieur Christophe Girardot ou quelque chose comme ça. J'avais écrit lundi et il m'a fait l'honneur de me répondre que ce soir, vendredi. Il m'a bien sûr dit :

Qu'il ne m'aiderait pas. Il refuse.

Voilà.

Il faut que je tienne. Je vais porté plainte. Ce soir, je vais mal. J'ai fait un malaise. C'est nerveux. Je suis dans cet état depuis trois ans maintenant, presque quatre. Vous voyez, en ce moment, j'ai un mouchoir en papier. J'ai dû m'en acheter (grêvant mon budget) tellement je saigne du nez. Je suis au bord de l'épuisement.

Cet harcèlement je le subi et ne croyez pas que c'est un hasard. Ils se sont ligué parce qu'ils ont décidé ma perte. Pourquoi ? Je l'ignore. Enfin, non. Je ne l'ignore pas.

Je suis carrément dégoûté.

Je vous ai donné encore un nom ce soir. Je les donnerai tous. Et j'espère que ces racailles vont payés.
C'est terrible. Je n'avais rien contre personne moi. Je n'ai rien compris à cette hostilité. Je ne comprends rien.

Je me sens comme une merde.
C'est vous qui me maintenez en vie. Je le fais aussi pour tous les chômeurs et les personnes isolés ou dans la difficultés. Mais j'ignore combien de temps je vais tenir.

Alors s'il vous plait. Mettez un lien. Parlez en autour de vous.

J'espère que je vais avoir le courage d'aller porter plainte. Je me sens tellement fatigué. Le sang qui coule ce soir me soulage un peu. Je me sens léger. Peut-être que je vais pouvoir dormir un peu avec mon somnifère...