Explication avant la suite

Mon blog commence à être connu et il est lu. Je le sais, j'en ai eu des échos rien que dans ma ville. Tant mieux.

Je veux donc donner quelques explications avant de poursuivre.

Tout d'abord, cela ne me fait pas plaisir d'écrire ce blog. Non seulement je n'y trouve aucun plaisir, mais c'est assez déroutant et humiliant pour moi. J'aimerais mieux faire autre chose. Mais je n'ai pas le choix. Ceci n'est pas un blog politique et je ne "roule" pour aucuns mouvement. 
Je pourrais exprimer une opinion politique, parce que c'est mon droit de citoyen. Ce n'est pas parce que je suis au chômage et au rsa-socle que je suis un sous-citoyen. Même si certains parti politique, comme l'UMP et le PS voudrait que cela soit.
Mon blog a été créé pour dénoncer l'injustice qui m'a été faite.
J'ai énormément de mal à en parler. Je devrai citer le nom de cette personne. Parce qu'elle est la cause de mon malaise, de mon mal-être. C'est de sa faute si je suis exclu et si je suis isolé et même mon état de santé actuelle, je lui dois. Je me disais que je devrais laisser tombé. Pas question. Cela serait trop facile pour elle. Il faut que les gens apprennent la vérité.
Mais c'est pénible pour moi.
Je ne suis pas quelqu'un de mauvais. Je ne suis pas comme cette femme qui m'a critiqué et continu de le faire malgré qu'elle ne s'occupe plus de mon dossier et qu'elle n'est plus en poste au ccas de Malzéville. Cela fait deux ans et demi, bientôt trois que j'ai ce poid sur l'estomac.
J'en suis malade. Oui, je m'en suis rendu malade, parce que cette petite fonctionnaire de merde n'a pas cessé de me maltraiter avec un véritable sadisme.
Je n'arrive pas à en parler. Je me dis aussi que si ces petits chefs ne l'avaient pas soutenu, si le maire, du moins le directeur des services sociaux, avaient réagi et ouvert une enquête, tout ceci ne serait pas arrivé.

Ce n'est pas une vengeance envers cette personne et ses complices passifs ou actifs. Je ne suis pas aussi fade, aussi perfide, aussi dégoûtant que cette personne, plutôt ces personnes. Je ne suis pas un pervers, comme elle. Je n'ai pas envie d'être aussi méprisable qu'elle. Cette petite fonctionnaire payée à ne rien faire et qui s'en prend, encore j'en suis sûr là où elle travaille, aux personnes en grandes difficultées sociales.
Je n'ai pas envie de vengeance mais j'ai besoin de justice.
"Ils", elle et sa racaille de complices n'avaient pas à m'insulter !

J'ai beaucoups de mal à écrire ce qui s'est passé. Je vais essayé. Je l'ai déjà écrit avec d'autres détails qui parle des autres protagonistes de mon histoire. Mais je veux me consacré sur cette personne. Vous parlez d'elle, du tors qu'elle m'a fait et vous donner enfin son nom. C'est difficile, parce qu'elle est mère de famille et que, voyez-vou, contrairement à elle, j'ai une conscience. Je n'aime pas causer du tors. Mais lorsque je pense à tous le mal qu'elle ma fait pendant toutes ces années, je me dis que ce n'est que justice.

Aujourd'hui, je suis dans un jour très "spécial". Assez grave, serait plus exact.
En effet, il arrive que j'ai des envies de mettre fin à mes jours et je suis dans cette phase là aujoàurd'hui. La maladie est là pour me rappeler que rien n'a plus d'intérêts pour moi.
Alors j'espère que ce jour, je vais reprendre des forces. Oui, j'espère. Je le pense, parce qu'à chaque fois, je reprends le dessus. Jusqu'au jour où je n'aurai plus la force.
On dira qu'on ne savait pas... bien sûr. c'est tellement facile.
C'est la hargne qui me maintien en vie.

Merci de me lire et bientôt, j'espère pouvoir vous dire, chers lecteurs, la vérité sur l'injustice qui m'a été infligé.